Aramis, c’est un projet artistique électro-pop collaboratif mené par Urhiel Madran-Cyr. Misant sur l'ambiguïté des sonorités et des propos abordés, Aramis est né d’un désir de s’exprimer, de raconter des histoires et de rêver éveillé. Il transporte ses auditeurs dans un univers imaginaire et imagé. Le paysage musical d’Aramis se compose de mélodies accrocheuses et de rythmes rétrofuturistes, tout en proposant une ambiance onirique, euphorique et introspective. ICI Musique (2020) l’a qualifié de «pop minutieusement construite, accrocheuse [. . . ] ».
Urhiel Madran-cyr a baigné dans la musique dès la naissance (à 8 ans, il écrivait ses premières paroles!). C’est au cégep qu’il a fondé Aramis avec deux amis musiciens. Après plusieurs années en formule de groupe, plusieurs spectacles et trois EP, Urhiel se retrouve désormais seul à continuer le projet. Depuis la parution de son premier EP solo Pour éviter les commotions en juin 2020 (co-réalisé par Borza Ghomeshi), le projet Aramis ne cesse d’attirer l’attention, tant médiatique que de la part du public. Le EP a été diffusé en écoute exclusive sur ICI Musique et a pu se faire entendre lors de la 24e édition des Francouvertes (finale du prix du public), à Pop Montréal, au festival Diapason, à Tout le monde en parle et à La semaine des 4 Julie. Aramis a également lancé trois vidéoclips qui ont reçu un chaleureux accueil médiatique.
Pour semer la confusion, le tout premier album d’Aramis sorti en février 2022, est une œuvre imposante, bourrée d’émotions et de dynamiques contrastantes, tout en étant une ode à la musique. À travers cette œuvre, Aramis offre le meilleur et le pire de ce qu’il est et de ce qu’il ressent face à un monde en constante destruction. Il écrit de façon spontanée, réfléchie ou chaotique ce qu’il vit: la solitude, l’amour, sa reconstruction constante face à des déceptions, ses peurs, ses obsessions et ses dépendances. Sur une instrumentalisation riche et atypique viennent s'ajouter les textes honnêtes, vulnérables et libérateurs d’Urhiel Madran-Cyr. Il s’agit pour lui d’un exutoire personnel où les limites et les restrictions créatives n’existent pas. Dans ce premier album, Aramis se présente au public de façon plus personnelle, leur communiquant le fruit de ses réflexions et introspections, tout en jetant un regard critique et engagé sur la masculinité toxique et les standards que nous impose la société.
